120 milliards de packs* produits par an dans l'industrie cosmétique.
La plupart non recyclables et à usage unique.
Existe-t-il une alternative ?
Elle peut s'enraciner dans la beauté circulaire, un système de production où l'on ne fabrique pas de nouveaux packs mais où l'on valorise ce qui existe déjà, pour que ça dure, pour qu'il nous accompagne, pour qu'il ne dure pas finir à la décharge.
1/ RELOAD est la clé :
Ce simple geste de recharge pourrait réduire de 70 % les émissions de carbone attribuées à l'industrie de la beauté. Nous ne proposons pas de recharges (ce serait un nouveau pack !) mais un simple geste de recharge en magasin, via une source d'essence. Et nous remplissons complètement nos sacs.
2/ AMÉLIORER LE RECYCLAGE aussi :
notre produit est né du recyclage du verre ou de l'aluminium, il s'utilise, il se recharge le plus de fois possible, et il se recycle facilement : il n'y a pas d'étiquette plastifiée sur les flacons, les bouchons sont tous dévissés pour le triage , ils évitent le plastique inutile.
3/ RÉDUIRE LA QUANTITÉ, JUSTE ET MINIMALISTE :
Nous proposons des essences pures et des formules concentrées, c'est-à-dire qu'avec moins de quantité, les résultats sont obtenus. Et elles ont plusieurs usages grâce à la biochimie des huiles essentielles, pour réduire le nombre de produits dans l'armoire à pharmacie et la trousse de beauté.
C'est notre version des 3R classiques : réduire, réutiliser, recycler. La beauté circulaire innove beaucoup plus dans ses approvisionnements et procédés pour ne pas créer de déchets ; choisissez :
4/ RÉCUPÉRER RESTES ET DÉCHETS :
Nos tissus sont issus de la slow fashion et des restes de production : l'équipe de couturières caritatives crée des éditions limitées vraiment uniques.
Nous recherchons des résidus de l'agriculture ou d'autres industries comme matières premières. Par exemple, extraire notre alcool du pépin de raisin, un résidu de l'industrie du vin ; extraire notre huile de tomate de la graine, un résidu de l'industrie du jus.
5/ MINIMISER LES TRANSPORTS :
Choisissez des plantes locales ou faciles à transporter avec un impact minimal. Produire à proximité, avec des associations ou des fondations qui réinvestissent dans le tissu industriel et social local.
Comme le propose la biologiste Leen Gorissen, spécialiste du développement durable : "consulter la nature a du sens dans une entreprise". La nature nous apprend à nous régénérer, c'est pourquoi notre système de production permet :
6/ PRÉSERVER LES RESSOURCES NATURELLES :
choisir une agriculture BIODYNAMIQUE, qui respecte le reste de la terre pour éviter l'utilisation d'engrais et de pesticides, au-delà des certifications écologiques et obtenir des plantes très saines concentrées en principes actifs. Choisissez également des huiles essentielles qui ont un haut rendement, afin de ne pas dépenser des tonnes de pétales de rose pour 1 goutte d'essence.
7/ CHOISIR DES MATIÈRES COMPOSTABLES :
s'il ne peut pas être recyclé, laissez-le aller ! Pour cette raison, nos diffuseurs sont en céramique compostable, et nos emballages sont en carton recyclé sans cellophane : ils ne laissent aucune trace, ils retournent à la terre.
Et si vous n'utilisez plus nos produits, avant de les jeter, nous vous suggérons de leur donner d'autres usages créatifs, comme des pots à crayons, des vases, etc.
Inspirez-vous de la nature, transformez ;-)
Ensemble, nous transformons un système dégénératif en un système régénératif.
Selon Jorge Riechmann, Une nouvelle esthétique pour une ère solaire, 2018 : "dans la seconde moitié du XXe siècle, nous avons avancé un peu – par à-coups – vers une éthique écologique Mais sont également semées les graines d'une esthétique écologique -que l'on ne peut concevoir déconnectée de l'éthique-, dont les valeurs pourraient être : diversité, sens de la mesure, simplicité, fonctionnalité, singularité, durabilité, élégance ; appréciation du local, la vitalité de la nature et la force du Soleil. Tout cela est régi par une phrase clé : "vous êtes le bienvenu dans l'excès", comme le recommandait l'ancienne sagesse delphique, et redécouvert par les scientifiques sociaux modernes (...)."
*`chiffre publié par Bloomberg https://www.bloomberg.com/news/articles/2019-06-05/the-ugly-side-of-the-makeup-aisle-is-made-out-of -déchets-plastiques
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